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2ème débat télévisé d’Emmanuel Gétaz face à Pierre-Yves Rapaz du mardi 10 novembre 2011 à La Télé

Incisif et précis, Emmanuel Gétaz réaffirme ses objectifs en matière de sécurité et de politique économique. Il rappelle son objectif d’augmenter fortement la présence sur le terrain des policiers, gendarmes et inspecteurs, pour développer la prévention, augmenter la rapidité d’intervention et diminuer la criminalité.

1er débat télévisé d’Emmanuel Gétaz face à Mme Béatrice Métraux du mardi 8 novembre 2011 à La Télé

Visionnez le premier débat télévisuel d’Emmanuel Gétaz face à Mme Béatrice Métraux du mardi 8 novembre 2011 à la Télé.
Très à l’aise, Emmanuel Gétaz y présente avec clairvoyance les mesures pour l’emploi à prendre sur le court, moyen et long terme, suite aux vagues de licenciements chez Novartis, Kudelski et Bobst SA.

Emmanuel Gétaz, rappelez-nous votre parcours professionnel…

« Je suis un entrepreneur né. Avec un ami, j’ai créé ma première entreprise à 17 ans, le Cully Jazz Festival. Mon père signait pour moi les contrats, car je n’avais pas l’âge légal de le faire… En quelques années, je gérais un budget annuel d’un demi-million de francs, alors que j’étais étudiant en droit à Berne.

Emmanuel Gétaz, quel est votre parcours politique ?

« Je suis entré à 22 ans au conseil communal de Cully, où j’ai siégé 10 ans en étant membre de la commission des finances. J’y ai acquis l’expérience approfondie du fonctionnement d’une commune assez typique du canton de Vaud, par ailleurs chef-lieu de son district, où les indépendants étaient très majoritaires, puisqu’il n’y avait pas de liste de partis. »

Ce qui motive la candidature d’Emmanuel Gétaz

C’est une dynamique sur plusieurs années qui a amené, en septembre dernier, la fédération des partis indépendants vaudois Vaud Libre à décider du lancement d’une candidature au Conseil d’Etat vaudois.
Représentés dans de nombreuses grandes villes du canton, dans les conseils communaux et les municipalités, les indépendants représentent également une grande part des conseillères communales et conseillers communaux des petites villes et des villages, où les élections ont lieu sur une liste unique.

Emmanuel Gétaz, comment pensez-vous travailler dans le collège gouvernemental vaudois ?

« Durant toute ma vie professionnelle, j’ai travaillé dans des comités d’association, des conseils de fondation et des comités de direction, parfois très importants, comme à Expo.02. Je sais que le travail collégial demande à la fois la capacité de défendre ses idées dans l’intérêt des projets, mais aussi la capacité d’écoute et de compromis. Les arbitrages sont nécessaires.»