Vaud LibreVaud Libre a tenu samedi ses assises à Pully et a décidé de confier à son comité la tâche de préparer le lancement d’une candidature pour l’élection complémentaire au Conseil d’Etat vaudois. Vaud Libre ne peut pas se reconnaître dans les candidats déclarés jusqu’à ce jour qui sont susceptibles d’orienter notre canton trop à gauche ou trop à droite.

Nous estimons nécessaire de rééquilibrer les forces au sein du gouvernement et non pas de le déséquilibrer d’un coté ou de l’autre de l’échiquier politique. Nombre de projets ont été retardés ces dernières années en raison de blocages au sein du Conseil d’Etat et cela a été préjudiciable au cadre de vie des Vaudois. Une candidature centriste permettrait une nouvelle approche au sein du gouvernement et favoriserait un meilleur climat de coopération des uns et des autres.

Vaud Libre a par ailleurs décidé de se lancer dans la course aux élections cantonales de mars prochain. Une liste sera déposée sur la Riviera et certainement dans d’autres districts. Pour mener à bien cette campagne, un nouveau comité a été nommé. A la présidence, Patrick Sercomanens du Parti Indépendant Nyonnais succède à Jean-Marc Pasche de l’Union pulliérane. Il sera accompagné de Jérôme Christen de Vevey Libre, Christophe Privet et Alexandre Stäger de Montreux Libre et Yves Guyot de l’Union puillérane, Un représentant du Forum d’Ecublens devrait bientôt pouvoir renforcer cette nouvelle équipe.

Patrick Sercomanens est un chef d’entreprises actives dans le domaine des technologies médicales, membre du comité du Parti Indépendant Nyonnais. Agé de 48 ans, marié et père de deux grands enfants, il a une formation en gestion et affaires internationales complétée par des formations post-grade, notamment en leadership, médiation et entreprenariat.

Les délégués des mouvances politiques libres du canton ont par ailleurs demandé à leur comité de renforcer le rôle de plateforme d’échanges que joue Vaud Libre. Les contacts doivent s’intensifier afin de profiter d’effets de synergie, de mieux positionner nos groupes respectifs et de mieux communiquer notre vision politique au grand public.