Le logement est un bien de première nécessité. Compte tenu de la part conséquente qu’il pèse sur le budget des ménages et des effets pervers du marché, il est essentiel que les communes puissent en contrôler une partie. Pour y parvenir, Les Libres ont proposé, il y 11 ans d’instituer un droit de préemption. Il a été introduit dans la Loi sur la préservation et la promotion du parc locatif (L3PL) entrée en vigueur il y a 5 ans après un vote populaire. Les milieux immobiliers qui ont perdu leur référendum ne l’ont toujours pas digéré. Ils multiplient les attaques dans le but d’en limiter les effets. Il va falloir rester vigilant.
